Qu'est-ce qu'il y a en commun entre Nicholas Sarkozy et le Philosophe Arthur Schopenhauer? On dit qu'ils ont, touts les deux, fait un pacte avec le Diable. Le premier parce que, pendant qu'il voulait dédier sa vie à la Philosophie et la Littérature, il a agréé à une voyage pour l'Europe que son père lui offrait, à condition que son fils accepterait devenir homme d'affaires comme lui. Il l'a fait, en comptant sur les bénéfices du voyage pour le développement de ses idées mais il a du donner presque 14 ans de sa vie dans un bureau, d'où seulement sa mère le libèra, brisé en larmes. Il est résté un homme amer et sensitif, d'une forme extrême, jusqu'à la fin de sa vie.
Et Sarkozy? On raconte beaucoup de choses vers son ambition demésurée, vers ses méthodes, mais, maintenant que le jugement des urnes s'est incliné vers lui, on ne voit que le splendeur du bâtiment, en oubliant les ombres de ses fondememts. Nicholas Sarkozy ne semble pas amer, bien que de la physionomie de deux, Schopenhauer et Sarkozy, se détachent les yeux bleus, vivaces et victorieux dans le visage tordu de Schopenhauer, insomnes et malins dans le visage exauste, presque déprimé, de Sarkozy. On dirait qu'en Schopenhauer , celui-ci a du tromper Mephisto qui revenait pour réaliser son crédit, tandis que Sarkozy semble encore très loin de ce moment-là.
Y-a-t'il une prière contre ces ombres? Oui. Il y a une prière pratique: une formule politique qui séduit la masse des citoyens en les poussant jusqu'à des choix de plus en plus étroits et irréversibles, est un règime qui conduit à la guillotine. La Gauche et la Droite ont été une création d'un vertige qui a mené, en peu de temps, le visage et la tête humaine d'une Nation a être tranchée. C'est vrai que le Parti Socialiste, autre Instituition de la France des Jacques du Moyên-Age et de la Fronde du Parlement de Paris, a créée le Front National, parce que les préocupations nationales et sociales étaient communes, entre gens de ville et gens de Province. Et c'est vrai aussi que la Superbe française de Napoléon a créée la Révolution Permanente et l'empire-ou-la-mort. Dans cette frime, dans cet'effroi, il n'y a lieu que pour un jour de tempête où se croisent les obscurités nuageuses et les éclairs étincelants. On doit faire un choix final, élire un Empereur et marcher avec lui.
Mais il me semble que, cette fois, la Marianne éloquente n'a pas été soumise ni par la violence, ni par l'amour, mais par la fuite, pendant que le vieillard des Guerres et des batailles, le breton de la Mer où les pêcheurs disent que c'est mieux ne savoir pas nager pour mourir sans douleur, s'est rétiré sous l'ombre inépuisable de la Méditérranée comme dans un coquillage.
Au millieu de tant de volonté de triomphe, de vólonté d'Empereur dans une Nation qui se prend pour la mère de toutes les Républiques, j'ai entendu quelqu'un qui a décidé de oublier cette chanson guerrière, chantée d'ailleurs avec des verses différents par des érangés vengeurs et par des vendéens en rage, la Marseillaise. C'était François Bayrou qui, en chantant tout seul, devant la foule de ses supporteurs, une simple chanson paysanne, du Sud, une chanson d'amour à la France et à la vie, a résumé, pour moi, la France pure et persistante de Ste. Jeanne d'Arc.
S'il était sorti vainquer ça signifierait une France plus soluble dans une Europe bureaucratique? Peut-être, mais ça serait une France plus humaine, aussi.
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