Écouter Sarkozy ou Ségoléne Royal est une leçon des temps qui s'approchent, les temps du vide douloureux. Sarkozy parle à la Droite, en disant que ceux qui ont voté Le Pen peuvent désormais voir la Droite Républicaine qui se réorganise sous son comandement. Il dit ça, aus jeunes de l'Union pour une majorité Présidentielle, en se penchant de son podium, pour le côté gauche. Aprés il se penche sur le côte droit et dit que la Gauche doit voir en lui le Progrès, contre l'immobilisme. Ségoléne, de sa part, va rendre visite aux militaires français au Liban. Elle pose en veston rouge entre les uniformes. Elle ne dit rien, elle devient pudibonde et fatiguée, soudainment entre les militaires.
La Droite se décide pour un cinéaste d'Evita. La gauche pousse en avant une épouse, en confiant les gosses du ménage au bureaucrate du Parti qui est leur père.
Chirac sortant risque le colimateur des Cours, par ses prouesses en tant que Maire de Paris. Ce sont des candidats comme des guignols et la Presse esaie de sauver la face de la France, en les comparant à Bonaparte et Marianne. Cette République n'a produit plus que la trahison des jeunes lieutenants comme preuve de jeunesse et rénovation éternelle. La République produit un spectacle de guignols qui ne'intérésse plus qu'à une parte réduite du Publique. La France multiculturelle, caotique, désavouée, prépare son Agenda pour se servir du guignol gagnant; Personne ne les crois plus, et, manque d'alternatives, attend le résultat...pour éxiger sa rançon après qu'ils ont émérgé de leur brigue. Pour le moment Sarkozy semble moins flou mas ce n'est plus un Président qu'on va éléger. C'est un mandataire des menaces et des peurs d'une rupture sociale.
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